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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2268533

ABSTRACT

Introduction: Krebs von den Lungen-6(KL-6) is useful in the diagnosis and severity assessment of diffuse interstitial lung disease. The objective of our study was to determine the prognostic value of the initial KL-6 plasma level in COVID-19 pneumonia Methods: All patients hospitalized between March 2020 and May 2020 for a suspected COVID-19 pneumonia in our Chest department of university hospital (Paris, France) were included. Initial referred as within 72 h of diagnostic suspicion, KL-6 plasma concentration in U/mL was measured by a ChemiLuminescent Enzyme Immunoassay (LUMIPULSE, Japan). Survival analyses were performed using a Cox regression and modeled by a Kaplan-Meier curve Results: 66 COVID-19 patients with initial KL-6 plasma measurement were analyzed, among whom 47 were men and average age was 64+/-14 yrs. Median KL-6 plasma concentration was 409+/-312 U/mL. KL-6 was significantly higher in men (p=0.003), elders (p=0.0001) and for higher Charlson's score (p=0.002). Higher KL-6 concentration was significantly associated with in-hospital mortality (HR: 8.66;95% CI:1.1-69.2), radiological extension of lesions on chest CT-scan (p=0.0040), higher WHO severity score (p=0.042), but not with admission in intensive care unit. In the 9 (14%) non surviving COVID-19 patients, KL-6 plasma concentration increased while it remained stable or decreased in survivors. At 3 months (n=48), DLCO was negatively correlated with the initial KL-6 value (r = -0.47, p=0.001) Conclusion(s): Initial KL-6 plasma concentration is associated with in-hospital mortality, unfavorable outcome, and persistent impairment of DLCO at 3 months. Initial KL-6 plasma determination appears as a prognostic biomarker in COVID-19 pneumonia.

2.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2278659

ABSTRACT

Introduction: Findings on cells and cytokines analyses in BAL are poorly described during and after resolution of non-severe COVID-19 pneumonia, that are the objectives of this study Methods: This study included 54 pts in whom a BAL was performed (04/2020-02/2021) for the diagnosis or follow-up of suspected COVID-19 pneumonia. Cytological and cytokine analyses (IL-1b, IL-6, IL-8, IL-10, TNFa, IFNg, HGF, TGFb) were performed in BAL blinded to the classification of pts into 3 groups: non-COVID (n=20);COVID (n=13) and post-COVID pneumonia (n=24) Results: Total cell counts were not different between groups. % macrophages were similar between non-COVID and COVID groups, while % neutrophils (PN) were higher - although NS in non-COVID and % lymphocytes (Ly) higher in COVID pneumonia (p<0.024). Plasmocytes were observed in 4/13 COVID and in 1/20 of non-COVID BAL (p=0.042). Compared with COVID pneumonia, post-COVID BAL showed lower % PN, but a persistent Ly alveolitis. Alveolar Ly, in COVID/post-COVID groups were mainly of a CD3/CD4-T cell subset. TGFb was not measurable in the 3 groups. IL-10, IFNg and HGF BAL levels were higher in COVID vs non-COVID pneumonia group (p=0.0128, p=0.005, p=0.007). IL-6, IL-8, IL-10, TNFa, IFNg and HGF levels were lower in post-COVID compared to COVID BAL (all p< 0.005). In COVID pts, IL-1b and IL-6 inversely correlated with %Ly in BAL (r=-0.8, p=0.005;r=-0.7, p=0.02, respectively Conclusion(s): Lymphocytic alveolitis associated with plasmacytosis is found in non-severe COVID-19 pneumonia. This alveolitis is associated with the presence of IL-6, IL-8, IL-10, TNFa, IFN g and HGF. BAL alveolitis and cytokine levels normalize in post-COVID-19 pneumonia.

4.
EMC - Tratado de Medicina ; 2023.
Article in Spanish | ScienceDirect | ID: covidwho-2165980

ABSTRACT

Resumen Las anomalías respiratorias en las personas infectadas por el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH) son variadas y pueden tener relación o no con este contexto. Han evolucionado a lo largo del tiempo debido al mejor conocimiento de esta infección crónica y a la prescripción de los tratamientos antirretrovirales (ARV) y profilácticos. El diagnóstico de cada afectación pulmonar depende de la concentración de linfocitos CD4, de la toma de ARV y de una posible profilaxis. La anamnesis y la exploración física y radiológica ayudan a la orientación diagnóstica y al tratamiento. Las neumopatías bacterianas son la primera causa de patología pulmonar en los pacientes con el VIH. La enfermedad por coronavirus de 2019 (COVID-19) apareció en 2020, como para el resto de la población. La tuberculosis y la neumocistosis siguen siendo las dos principales infecciones pulmonares oportunistas. El síndrome inflamatorio de reconstitución inmunitaria después de la introducción de los ARV puede ser responsable de manifestaciones respiratorias. La incidencia del cáncer de pulmón y de la enfermedad pulmonar obstructiva crónica aumenta debido a la prolongación de la esperanza de vida y al elevado porcentaje de fumadores en esta población. En este artículo, se propone el establecimiento de un proceso diagnóstico y se presentan las principales etologías ante una anomalía respiratoria en un paciente que vive con el VIH.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):20, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586707

ABSTRACT

Introduction Le KL-6 est une glycoprotéine des pneumocytes de type II, qui a montré son intérêt dans le diagnostic et l’évaluation de la sévérité de nombreuses pneumopathies interstitielles diffuses. Dans la pneumopathie à SARS-CoV-2, plusieurs biomarqueurs sanguins (CRP, D-Dimères, LDH) ont été évalués pour aider à la stratification des patients. L’objectif de notre étude est de déterminer la valeur pronostique du taux de KL-6 initial dans l’infection à SARS-CoV-2. Méthodes Ont été inclus tous les patients hospitalisés pour suspicion de pneumopathie à SARS-CoV-2 dans les services de pneumologie et de réanimation d’un hôpital universitaire francilien (du 5/03 au 5/05/20). Les patients ont été classés selon l’échelle de sévérité de l’OMS [1]. La concentration sanguine initiale du KL-6 a été mesurée dans les 72h suivant la suspicion diagnostique. Les analyses de survie ont été réalisées selon un modèle de régression de Cox et modélisées par une courbe de Kaplan-Meier. Résultats 81 sur 221 malades hospitalisés (37%) disposant d’un dosage de KL-6 ont été analysés, dont 66 (47 hommes, âge: 66 ans±14 ans) qui présentaient une Covid-19 et 15 témoins (PCR négative et diagnostic alternatif). La concentration (moyenne±DS) de KL-6 initial était de 409±312 U/mL chez les Covid-19 vs. 362±161U/mL chez les témoins (NS). Le KL-6 était supérieur à la normale (≤500U/ml) chez 36% des Covid-19 et 27% des témoins (NS). Une valeur de KL-6 initial élevée était significativement associée à la mortalité intra-hospitalière (HR: 8,66;IC 95%:1,1–69,2), à l’admission en réanimation (p=0,049) et à l’extension radiologique des lésions au scanner (p=0,0040). Le KL-6 initial était plus élevé dans les groupes de sévérité OMS ≥6 par rapport au groupe OMS ≤5 (p=0,042). Chez les patients décédés (13%), le KL-6 augmentait alors que qu’il restait stable ou diminuait chez les survivants. À 3 mois (n=48), la DLCO était négativement corrélée à la valeur du KL-6 initial (r=−0,47, p=0,001), ce qui n’était pas le cas de la CVF, de la VEMS et du score mMRC. Conclusion La valeur du KL-6 initial est associée à la mortalité hospitalière, à une évolution défavorable et à une altération persistante de la DLCO à 3 mois. La valeur du KL-6 initial semble avoir un intérêt pronostique dans la pneumopathie à SARS-CoV-2.

6.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):22, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586706

ABSTRACT

Introduction En dehors de la réanimation 1, peu d’études ont rapporté les résultats de l’analyse cytologique, phénotypique et cytokinique du LBA au cours de la pneumonie COVID-19. Les objectifs de ce travail étaient de décrire ces données. Méthodes Cette étude rétrospective monocentrique a inclus 54 patients (pts) chez qui un LBA (3 pts ayant eu 2 LBA) ont été réalisés entre 04/2020 et 02/2021 pour le diagnostic ou le suivi d’une pneumonie COVID-19. Les analyses cytologique, phénotypique et du dosage des cytokines (IL-1b, IL-6, IL-8, IL-10, TNFa, IFNg, HGF) dans le LBA (n=57) ont été réalisées en aveugle de la classification des malades en 3 groupes: (i) Gr1 (n=20): pneumonie non reliée au COVID;(ii) Gr2 (n=13): pneumonie COVID-19;(iii) Gr3 (n=24): anomalies persistantes après COVID-19. Résultats Le délai entre le 1er jour des symptômes et le LBA était de 9 (6–15), 9 (4–26) et 46jours (36–109) pour les Gr1, 2 et 3, respectivement. La PCR SarsCov2 dans le LBA était+dans 0, 100 et 0% des pts testés du Gr1 (n=20), 2 (n=13) et 3(n=18). La cellularité totale, le % de lymphocytes (Ly) et de neutrophiles (PNN) étaient plus élevés dans le Gr2 versus Gr3 ajustés à la présence ou non d’une bactérie. Les Ly du LBA du Gr2 étaient de phénotype CD4 53% (29–81), CD8 42% (16–63) avec une plasmocytose dans 31% des cas (n=4/13). Les taux d’IL-10 (p=0,02), d’IFNg (p=0,008) et d’HGF (p=0,001), mais pas celui de l’IL6 (p=0,18) étaient supérieurs dans le Gr2 versus Gr1. Les taux d’IL6, IL8, IL10, INFg, TNFa et d’HGF étaient supérieurs dans le Gr2 versus Gr3. Dans le Gr2, il existait une corrélation négative entre le taux de Ly et le taux d’IL-8 (p=0,009) et une corrélation positive entre le taux de PNN et les taux d’IL-6 (p=0,002), IL-10 (p=0,007), TNFa (p=0,04), INFg (p=0,047) et d’HGF (p=0,049). Conclusion Une alvéolite lymphocytaire et à PNN parfois associée à une plasmocytose est retrouvée à la phase initiale de la pneumonie COVID-19 en présence d’une PCR+;cette alvéolite s’associe à la présence d’IL6, IL8, IL10, IFNg, TNFa et d’HGF. Cependant seuls les taux d’IL-10, d’IFNg et d’HGF sont supérieurs à ceux observés au cours d’autres infections respiratoires. L’alvéolite et le taux des cytokines dans le LBA se normalisent chez les malades encore symptomatiques à distance de la pneumonie COVID-19.

7.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):58-59, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586581

ABSTRACT

Introduction En 2020, la COVID-19 a bouleversé l’organisation hospitalière avec un impact sur la prise en charge (PEC) de pathologies tumorales. L’objectif est d’évaluer l’impact du COVID-19 sur les délais de PEC du cancer du poumon (CP) dans un centre de diagnostic rapide ambulatoire qui a établi un parcours sécurisé lui permettant de rester ouvert durant les confinements. Méthodes Étude observationnelle rétrospective monocentrique, sur 2 périodes : période 1 (P1) (2016, avant COVID-19) et période 2 (P2) (2020, pendant COVID-19). Les patients dont le diagnostic de CP a été fait dans le centre à la suite de la 1ère consultation “opacité thoracique suspecte” (COTS) ont été inclus. Les délais de PEC ont été calculés selon la méthodologie de l’INCa avec 2 parcours individualisés selon le type de 1er traitement (chirurgie et chimio ±immunothérapie). Les caractéristiques populationnelles et les délais de PEC de P2 ont été comparés à P1. Résultats 227 et 293 patients ont été vus à la COTS à P1 et P2. Un CP a été diagnostiqué chez 118 (52%) et 145 (49,5%) patients à P1 et P2, respectivement (p=0,29). Les caractéristiques des patients étaient similaires entre les 2 périodes excepté le stade TNM. La proportion de stade localisé diagnostiqué en P2 était plus élevée qu’en P1 (43,5% versus 29,7%, p=0,02). Les délais de PEC sont résumés dans le tableau. Tous les délais de PEC ont significativement augmenté, qu’ils portent sur l’étape pré hospitalière (D1 et D6) ou sur l’étape intra-hospitalière (D3, D4 et D7, D9–12). Le parcours dont le 1er traitement était la chirurgie était celui dont l’allongement des délais était le plus significatif. Les 2 délais n’ayant pas augmenté entre P1 et P2 étaient le délai D4 à la proposition thérapeutique et le délai D8 d’accès à la biologie moléculaire. Le délai D5 d’accès au 1er traitement était augmenté entre P1 et P2 seulement pour la chirurgie (Tableau 1). Conclusion Alors que le centre de diagnostic est resté ouvert, les délais de PEC du CP ont été augmentés pendant la COVID-19. Les raisons sont multiples: réticence du patient à consulter, déprogrammation chirurgicale, accès aux plateaux techniques, redistribution des ressources humaines, effet rebond à la seconde vague…. L’allongement des délais a particulièrement impacté la PEC des CP de stades localisés, les plus curables. INCa. Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon dans plusieurs régions de France en 2011, juin 2012.

8.
Respir Med Res ; 79: 100828, 2021 May.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1237866

ABSTRACT

OBJECTIVES: In March 2020, the World Health Organization declared the coronavirus disease 2019 (COVID-19) a pandemic. In absence of official recommendations, implementing daily multidisciplinary team (MDT) COVID-19 meetings was urgently needed. Our aim was to describe our initial institutional standard operating procedures for implementing these meetings, and their impact on daily practice. METHODS: All consecutive patients who were hospitalized in our institution due to COVID 19, from March 31 to April 15, 2020, were included. Criteria to be presented at MDT meetings were defined as a proven COVID-19 by PCR or strongly suspected on CT scan, requiring hospitalization and treatment not included in the standard of care. Three investigators identified the patients who met the predefined criteria and compared the treatment and outcomes of patients with predefined criteria that were presented during MDT meeting with those not presented during MDT meeting. COVID-19 MDT meeting implementation and adhesion were also assessed by a hospital medical staff survey. RESULTS: In all, 318 patients with confirmed or suspected COVID-19 were examined in our hospital. Of these, 230 (87%) were hospitalized in a COVID-19 unit, 91 (40%) of whom met predefined MDT meeting criteria. Fifty (55%) patients were presented at a MDT meeting versus 41 (45%) were not. Complementary exploration and inclusion in the CorImmuno cohort were higher in MDT meeting group (respectively 35 vs. 15%, P=0.03 and 80 versus 49%, P=0.0007). Prescription of hydrocortisone hemisuccinate was higher in group of patients not presented during MDT meeting (24 vs. 51%, P=0.007). Almost half of the patients fulfilling the inclusion criteria were not presented at MDT meeting, which can be partly explained by technical software issues. CONCLUSIONS: Multidisciplinary COVID-19 meetings helped implementing a single standard of care, avoided using treatments that were untested or currently being tested, and facilitated the inclusion of patients in prospective cohorts and therapeutic trials.


Subject(s)
COVID-19/therapy , Group Processes , Medical Staff, Hospital , Standard of Care , Aged , Aged, 80 and over , Clinical Decision-Making , Female , France , Hospitals, University , Humans , Male , Middle Aged
9.
Respir Med Res ; 78: 100784, 2020 11.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-714414
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